Vendredi 21 août, le journal arabophone tunisien Al Chourouk a rapporté des informations faisant état de l’existence d’un présumé complot visant à assassiner le Président Kaïs Saïed par empoisonnement. Des informations aussitôt démenties avec « ironie » par le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Khaled Hayouni. Des sources au sein de la présidence de la République ont également réfuté ces allégations.
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La rédactrice de l’article du quotidien Al Chourouk, Mouna Bouazizi, a affirmé détenir des informations sûres concernant l’existence d’un contrat sur la tête du Président Kaïs Saïed, soulignant que les services de sécurité avaient lancé une enquête à ce sujet sur ordre de la présidence de la République. Elle a expliqué d’un employé d’une boulangerie, qui fournit le pain et les friandises à la présidence de la République, avait dénoncé auprès des services de sécurité une machination orchestrée par un homme d’affaires dans le but d’empoisonner le chef de l’État.
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Dans une déclaration à Radio IFM, Khaled Hayouni a affirmé qu’il ne disposait d’aucune information concernant les allégations rapportées par le journal Al Chourouk, soulignant que le ministère de l’Intérieur ne se sentait pas concerné par l’article en question. «Elle a de la chance cette journaliste qui dispose de toutes les enquêtes d’El Gorjani [et dont le ministère de l’Intérieur n’est pas au courant, ndlr]», a-t-il soutenu «sur un ton ironique».
