Les réseaux sociaux, dont les revenus sont essentiellement tirés de la publicité, ont parfois du mal à gérer le flux d’annonceurs qui font appel à leurs services.
Ainsi, Twitter accumule également les publicités peu recommandables. La dernière en date concerne la vente d’organes, comme a pu le constater Tyler Coates, un journaliste américain.
Le 12 février dernier, ce dernier s’est vu proposer un rein “pas cher” par le compte “Organ Market”, rapporte le site américain Gizmodo. Un message qui a été supprimé plus tard.
promoted tweet pic.twitter.com/NfxrpVBCpY
— Tyler Coates (@tylercoates) February 12, 2020
Auprès de Gizmodo, un porte-parole de Twitter se réfère à ses conditions générales d’utilisation, qui interdisent des publicités contenant des messages haineux ou faisant référence à du trafic de drogue, d’organes, ou d’êtres humains.
Le cedi ghanéen est la monnaie la plus performante du monde face au dollar en 2020
L’entreprise évoque par ailleurs son système de modération, qui est opéré par “des humains et des machines”, sans toutefois préciser à quel niveau ce dernier a failli dans le cas des publicités proposant d’acheter un organe.