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Un nouveau virus “100 fois pire” à l’horizon

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Au moment où l’humanité peine à maîtriser le Covid-19 qui fait ravage dans le monde entier, un nouveau virus “cent fois pire” est prédit par un scientifique américain pointant des zoonoses qui apporteront à l’humanité de nouvelles pandémies tout en mettant l’accent sur les poules comme principal coupable du nouveau virus.

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Le scientifique américain Michael Greger met en lumière le fait que les zoonoses, les maladies dont les agents se transmettent naturellement des animaux à l’Homme, sont les clés de tous les malheurs en termes de virus et que le coronavirus n’est pas le dernier à une telle échelle qui frappera l’humanité.

Le docteur explique dans son dernier livre « Comment survivre à une pandémie » qu’un nouveau virus apocalyptique frappera bientôt à la porte de l’humanité si rien ne change. Et à l’en croire, ce virus sera «100 fois pire» quand il arrivera.

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Michael Greger démontre que le nouveau porteur du virus H5N1 est une poule dont la viande est consommée à grande échelle. Le corps humain devient de plus en plus vulnérable au virus en raison des conditions de fabrication non-stériles et des produits chimiques qui font grandir les volailles.

Le scientifique a raconté qu’en 1997, il y avait une nouvelle souche de grippe connue sous le nom de H5N1. Il est indiqué que la première personne infectée a été un garçon de trois ans à Hong Kong, qui a eu des douleurs à la gorge et à l’abdomen, et a succombé à une insuffisance respiratoire aiguë. Heureusement, la propagation a été contenue et seulement 18 personnes ont été infectées, dont trois sont décédées.

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Pour éviter une nouvelle épidémie, l’auteur du livre a fait remarquer qu’il était important de commencer à élever les poules non dans des usines immenses, mais dans de petites fermes et avec moins d’oiseaux. Bref, dans des conditions plus hygiéniques.