La stratégie nationale de la REDD+ mise en place pour faire face à la déforestation et la dégradation des forêts est susceptible d’avoir un impact négatif sur la société si certaines dispositions ne sont pas prises.
Selon le coordonnateur de la REDD+ Assih Hèmu, la reforestation du pays nécessite l’aménagement d’aires de reboisement. Ainsi donc s’il arrivait par exemple qu’un espace sur lequel on cultivait soit destiné à la reforestation, cela aurait des impacts négatifs sur les personnes qui exercent les activités agricoles à cet endroit.
C’est donc pour éviter que la REDD+ engendre ces aspects négatifs, que les acteurs impliqués dans sa gestion échangent depuis ce mardi 21 février à Lomé.
Ils cherchent à trouver des solutions durables afin de concilier l’affectation des terres au reboisement et leurs affectations à d’autres fins, toutes aussi utiles, telles que l’agriculture, les infrastructures etc.