Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Une révolution en cours : Les Ivoiriennes veulent s’inspirer des Togolaises dans ce domaine

Crédit Photo : Pharmasimple

Facebook
Twitter
WhatsApp

Les universitaires veulent améliorer l’attractivité des filières scientifiques pour les femmes.

Dans cette perspective, un atelier initié par la Conférence Internationale des Responsables des Universités et Institutions à dominante Scientifique et technique d’Expression Française (CIRUISEF) s’est tenu les 28 et 29 avril 2022.

 Cette rencontre qui intervient, dans le cadre du projet PULSE, réunit des délégations de la CIRUISEF, de l’Association des femmes chercheurs de la Côte-d’Ivoire (AFEMC-CI) et de l’Association des femmes pour la science et la technologie du Togo (FTPS -T) de l’Université de Lomé, ainsi que des étudiantes en parcours scientifiques de l’UL.

Il s’agira de discuter et d’aborder plusieurs thématiques qui favoriseront et inciteront la gent féminine aux filières scientifiques.

 La rencontre permettra également aux femmes universitaires de la Côte d’ivoire de s’inspirer de l’expérience de leurs homologues togolaises.

En s’appuyant sur les chiffres de cette année académique 2021-2022, où l’on compte 11 femmes sur 109 enseignants à la FDS, ce qui représente le 10e de l’effectif des enseignants, et près de 2700 femmes sur 10.300 étudiants, le doyen a affirmé que le défi demeure encore entier au sein de sa faculté.

Pour un pays comme le Togo ayant une répartition démographique de 49,3% d’hommes contre 50,7% de femmes, cela indique un réel problème de représentativité des femmes dans les filières scientifiques, a-t-il ajouté.