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USA/11 septembre : plusieurs victimes enregistrées 18 ans après l’attentat

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De nombreuses études font un lien entre les cancers des secouristes et des survivants de l’attentat du World Trade Center et le nuage d’amiante, de poussière et de produits chimiques qui avait recouvert le quartier.

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Il y a dix-huit ans, près de trois mille personnes ont été tuées dans les attentats du World Trade Center, à New York, aux Etats-Unis. Là où les deux tours tutoyaient le ciel, à plus de 400 mètres de haut, d’immenses fontaines marquent aujourd’hui leur tragique absence. Le Ground Zero, l’endroit de l’impact, est devenu un lieu de commémoration de ces attaques, commanditées par Al-Qaida, qui ont marqué le monde entier.

Au printemps dernier, six piles de pierre ont été installées pour rendre aussi hommage aux victimes dont le nom n’a pas été inscrit sur les plaques. Ces pompiers, ces policiers, ces rescapés qui, après la tragédie, sont tombés malades ou sont morts.

Car des années après l’effondrement des tours jumelles, New York n’en finit pas de compter d’autres victimes. Plusieurs personnes sont atteintes de cancers, notamment du poumon, et d’autres maladies graves, liés au nuage toxique qui a plané des semaines durant sur le sud de Manhattan.

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La ville s’était alors recouverte d’un manteau de poussière qui libérait dans l’air des quantités inédites de produits chimiques, dont des dioxines, de l’amiante et d’autres substances cancérogènes.

Avec Le Monde