L’ancien président Donald Trump est revenu ce lundi 29 août sur l’exécution par le FBI d’un mandat de perquisition à son domicile pour saisir des documents classifiés et a exigé d’être installé en tant que commandant en chef des États-Unis, 22 mois après avoir perdu de manière décisive la course de 2020.
L’ex-président deux fois destitué a toutefois proposé une « solution minimale » s’il n’est pas renvoyé immédiatement à la Maison Blanche : déclarer le vote de 2020 « irrémédiablement compromis » et en tenir un nouveau « immédiatement ».
Ces derniers jours, les conservateurs se sont accrochés aux remarques faites par le chef de Facebook, Mark Zuckerberg, sur la gestion par sa plate-forme sociale de l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden juste avant les élections de 2020.
Apparaissant sur le podcast de Joe Rogan, Zuckerberg a révélé que le ministère de la Justice avait averti Facebook d’être « vigilant » sur la « propagande russe » dans les derniers jours de la saison électorale.
Alors que Zuckerberg a spécifiquement déclaré que les autorités n’avaient pas signalé l’ordinateur portable comme de la désinformation, il a déclaré à Rogan que Facebook limitait la portée de l’article de Hunter Biden du New York Post sur les fils d’actualité pendant quelques jours alors que les vérificateurs de faits déterminaient si c’était vrai. Contrairement à Twitter, cependant, les utilisateurs de Facebook étaient libres de partager l’article sur leurs pages.
En outre, une enquête récente du Technometrica Institute of Policy and Politics a révélé que 79% des personnes interrogées pensent que Trump aurait probablement battu le président Joe Biden si les électeurs avaient été informés que le contenu de l’ordinateur portable du jeune Biden était authentique et non de la « désinformation russe », comme l’avait suggéré la communauté du renseignement.
