À travers une récente sortie, la diva Vitale a manifesté sa colère vis-à-vis de M. Barthélemy Inabo et Annie France, des hommes de médias qui ont porté des critiques sur sa musique.
Selon l’artiste, ces critiques ont détruit sa carrière. Elle a donc signifié qu’elle ne compte pas leur pardonner. Vitale s’est exprimée en ces termes :
« On dit toujours qu’il faut pardonner, passer à autre chose. Mais il y a des blessures qui font tellement mal qu’il est presque impossible de les oublier.
Monsieur Barthélemy Inabo et votre fille Annie France, vous avez brisé ma vie, ma carrière, mes rêves et mon moral.
À cause de vous, je perds de gros contrats, des opportunités de prestations, de la visibilité. Vous avez ainsi terni mon image aux yeux du monde, vous m’avez salie et humiliée à plusieurs reprises sur différents plateaux télé.
J’essaie d’oublier toute cette méchanceté gratuite envers ma personne, mais une question revient toujours : qu’est-ce que je vous ai fait de mal pour mériter cette destruction injuste ?
Je n’arrive pas à vous pardonner, et jusqu’à ma mort, sachez que vous avez brisé la vie de l’enfant de quelqu’un, détruit le gagne-pain d’une orpheline, sali l’image d’une mère et d’une épouse.
Je ne vous pardonnerai jamais. Et je vous souhaite de subir le même mal que celui que vous avez causé dans ma vie ».
Des propos qui ont déchaîné les internautes dans les commentaires. Selon certains avis, Vitale devrait arrêter de se plaindre.
Ils lui ont par ailleurs conseillé de prendre exemple sur Himra, Josey et DJ Arafat, des artistes qui ont subi le dénigrement, mais qui ont su garder le cap. Voici quelques commentaires :
« Prends exemple sur Himra. Il a été traité de vaurien. Certains disaient : ‘Lui là, il chante quoi même ? Un artiste de quartier, un microbe’.
C’est pareil pour les plateaux télé. On lui a posé des questions de frustration, de dénigrement, mais le jeune a travaillé. Aujourd’hui, il a imposé le respect partout. Aujourd’hui, c’est Himra le nouveau boss » ;
« Décidément, Vitale fait malheureusement partie de ces artistes qui s’accrochent au buzz pour exister. Arafat a toujours été critiqué, mais il a su rebondir et retourner les attaques à son avantage, tout comme la diva José.
Si tu avais reçu ne serait‑ce que la moitié des attaques et des piques que José a subies, tu aurais complètement disparu« .
