Vladimir Poutine est-il malade ? Depuis l’éclatement du conflit entre la Russie et l’Ukraine, tous les yeux sont tournés vers le Président de la fédération. Il apparaît à chaque intervention publique un peu plus affaibli et laisse planer le doute sur une potentielle maladie de Parkinson.
Le 23 avril 2022, Le Parisien a consacré un article sur le sujet, révélant que ce secret restera sans doute l’un des mieux gardés du pouvoir, guerre oblige. Lundi 9 mai, Closer a relancé les rumeurs de maladie en dévoilant une image de l’ancien espion du KGB, assistant au défilé du Jour de la Victoire, un plaid épais sur les genoux.
“Vladimir Poutine est apparu quelque peu souffrant, recouvert d’une épaisse couverture pour se tenir chaud alors qu’il souffrait de plusieurs quintes de toux”, expliquent nos confrères. Qu’en est-il réellement ?
En temps de conflit, il n’est pas rare que tous les observateurs s’intéressent à la santé d’un chef d’État. Comme le rapporte Le Parisien, Saddam Hussein en son temps avait été observé longuement par les services secrets américains et occidentaux.
Idem pour Franklin D. Roosevelt, 32e président des États-Unis, dont la santé déclinante avait été minutieusement dissimulée par la Maison-Blanche, jusqu’à sa mort soudaine en 1945 des suites d’une hémorragie cérébrale.
Il était pourtant apparu vieilli et amaigri, sans jamais que le gouvernement ne fasse d’annonce officielle. En Russie, il y a peu de chances que la situation se passe différemment, tant la vie privée de Vladimir Poutine est gardée, tel un secret militaire.
Lors de ses deux dernières apparitions publiques, il a été vu tremblant, affaissé dans son fauteuil, puis le 9 mai 2022, les genoux couverts au cours de la célébration de la victoire des forces armées russes en Allemagne nazie. Sauf que, d’autres images de ce même évènement montrent d’autres dignitaires et militaires russes, eux aussi recouverts d’une couverture similaire à celle du Président.
Malgré un ciel dégagé, la météo n’était pas des plus clémentes au-dessus du Kremlin. Un paramètre qui a bien failli causer l’annulation du survol de la ville par les avions militaires. Serait-il insensé de penser qu’il faisait sans doute juste un peu froid dans les gradins depuis lesquels les officiers et membres du gouvernement assistaient au spectacle ?
Avec Femme Actuelle