« C’était une tentative absolument infructueuse, mais cela s’est vraiment produit… C’était il y a environ deux mois », commence Kyrylo Budanov. Le chef des services de renseignement ukrainiens l’assure : Vladimir Poutine aurait été visé par une tentative d’assassinat. L’homme fort de Kremlin aurait ainsi été « attaqué par des représentants du Caucase », une zone qui comprend l’Arménie, l’Azerbaïdjan et la Géorgie, rapporte le Daily Mail.
La guerre n’est pas le seul élément qui aurait pu motiver les ennemis caucasiens de l’ancien agent du KGB, dans leur entreprise. Vladimir Poutine est accusé d’avoir provoqué ou attisé plusieurs conflits dans la région. À son passif : l’invasion de la Géorgie en 2008 ou bien les combats entre son proche allié l’Arménie et l’Azerbaïdjan en 2020.
En 2017, le président russe a déclaré avoir été visé par cinq attaques contre lui. À l’entendre, la seule raison pour laquelle il était encore en vie était qu’il supervisait très personnellement sa propre sécurité. Cela doit être encore le cas aujourd’hui.
Fortement isolé sur la scène internationale, Vladimir Poutine n’est pas à l’abri d’autres menaces, en plus de celle du Caucase. En mars, l’ancien chef de l’armée britannique Richard Kemp a déclaré que l’OTAN et les alliés occidentaux ne devaient pas exclure la possibilité d’assassiner le président russe, précise le Daily Mail. L’homme de 69 ans représenterait « une menace permanente et mortelle », dont l’assassinat pourrait être « désagréable » pour certains mais contribuerait à sauver des milliers de vies.
Avec Vanity Fair