Il a 68 ans, elle 37 ans. Ils se seraient rencontrés au début des années 2010 et vivraient depuis une relation passionnée, mais très discrète.
En effet, le mystère plane autour d’Alina Kabaeva, que tout le monde, sauf les médias russes, présente comme la compagne de Vladimir Poutine. Ancienne championne mondiale de gymnastique rythmique, médaillée d’or aux Jeux olympiques , elle a ensuite quitté le sport pour se lancer en politique. En 2007, elle a ainsi été élue député du parti Russie unie, celui de Vladimir Poutine, à la Douma d’État. Son parcours n’est donc pas caché, mais sa vie privée complètement.
Ainsi, quand elle fait la couverture d’un magazine, aucun journaliste local n’ose lui poser de questions sur son histoire avec le néo-tsar, et encore moins sur les enfants qu’elle aurait peut-être eus de lui. Si elle est une compagne mystérieuse que Poutine tient à tout prix à préserver, elle n’en coûte pas moins beaucoup d’argent aux contribuables russes.
Selon The Sun, Alina Kabaeva aurait à sa disposition plusieurs limousines Maybac et serait protégée par une garde armée de grande ampleur, dans chacun de ses déplacements. Autre information du journal britannique : elle toucherait des millions grâce à un proche du président russe, le milliardaire Yury Kovalchuk. Celui-ci est en effet actionnaire du National Media Group et aurait récemment nommé Alina Kabaeva à sa tête.
Elle gagnerait ainsi 785 400 000 roubles par an (8,5 millions d’euros). Un récent rapport, mentionné par le Times, avance également le même montant. Un train de vie jugé extravagant quand l’on sait que le salaire moyen russe ne dépasse pas les 480 euros par mois.
Avec Vanity Fair