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Voici 4 répliques cultes de Molière que vous utilisez sans le savoir

Crédit Photo : Google Images

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Auteur d’une trentaine de pièces, Molière, celui-là à qui on attribue la langue française a écrit des milliers de vers. Et il est fort probable que certaines de ses répliques se sont déjà retrouvées dans la bouche de tout francophone sans qu’il ne le sache.

Voici quatre célèbres expressions que vous connaissez très certainement, voire prononcez, littéralement ou en les remaniant quelque peu, sans savoir que vous citiez l’illustre dramaturge.

1. Quand il y en a pour huit il y en a pour dix

Se retrouver autour d’un repas en famille ou discuter autour de bonnes bouteilles de vin, fait partie de l’art de vivre à la française. Souvent, il arrive que des invités s’incrustent à la dernière minute, ce qui généralement donne lieu à un “quand il y a à manger pour 2, il y en a bien pour 3”.

On retrouve cette réplique dans “L’avare” plus précisément dans la bouche d’Harpagon, rongé par l’avarice qui dit : “Nous serons huit ou dix ; mais il ne faut prendre que pour huit. Quand il y a à manger pour huit, il y a bien pour dix”.

2. Mais qu’est-il allé faire dans cette galère ?

Qui n’a jamais crié un jour, à l’écoute des mésaventures d’un tiers : “Mais qu’est-il allé faire dans cette galère” ? Une autre réplique attribuée à Molière dans “Les fourberies de Scapin”. Le terme “galère” évoquait à l’époque un navire.

3. Qui veut noyer son chien…

“Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage”. Cette expression est toujours à la mode. Elle figure quant à elle dans “Les femmes savantes”.

Néanmoins, cette expression n’a toutefois pas été inventée par Molière lui-même, puisque ce proverbe, signifie qu’une personne souhaitant faire du tort à une autre, trouvera toujours un prétexte pour le faire quitte à le calomnier. Même si on la lui attribue, son origine remonterait au XIIIe siècle.

4. Vos beaux yeux.

“Tu as des beaux yeux, tu sais”, loin de vouloir attribuer à Molière cette expression, il faut quand même précisé que Jean-Baptiste Poquelin a signé dans “Le bourgeois gentilhomme” une réplique qui s’en rapproche.

“Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d’amour”, écrivit-il. Essayez de glisser ses mots dans une discussion avec une femme que vous convoitez.

Source : Cnews