Avant le colonialisme, les Africains avaient leur routine de beauté, mais l’acceptation des méthodes des colonialistes et de leur religion les a fait arrêter ou rejeter ces choses.
Certaines de ces routines de beauté étaient bien meilleures que ce que les colons leur réservaient et beaucoup d’entre elles n’étaient même pas nuisibles.
Voici 5 anciennes pratiques de beauté africaines impressionnantes :
Le beurre de karité
Le beurre de karité est utilisé dans presque toutes les cultures au Nigeria et en Afrique. Il a des propriétés médicinales et peut être utilisé en application locale et même consommé. L’utiliser sur votre peau et vos cheveux les adoucit.
Le savon noir
Le savon noir est fabriqué à partir d’eau, de cendres de peaux de plantain, de poudre de cabosse de cacao, d’huile de palme, d’huile de noix de coco, de beurre de karité ou de miel tropical. Le savon noir aide à se débarrasser de l’acné, lisse la peau, l’hydrate et présente d’innombrables autres avantages pour la peau.
Dreadlocks
Les Africains se sont toujours attachés les cheveux. Après le colonialisme, certains Africains pensaient que le fait de se barrer les cheveux signifiait que l’on est un vaurien ou que l’on a un démon. Les dreadlocks sont excellentes pour vos cheveux, elles les préservent et les font pousser plus longtemps et sont faciles à coiffer.
Tatouages
Certains tatouages sont très esthétiques. Depuis des siècles, les Africains inscrivent des signes et des symboles sur leur corps.
Ces tatouages n’étaient pas seulement des inscriptions créatives, mais ils avaient une signification. Certaines personnes utilisaient ces tatouages comme moyen d’identification, pour se distinguer des autres tribus, d’autres avaient des tatouages pour se protéger du mal et les utiliser dans l’au-delà.
Perles et piercings
Si une femme porte aujourd’hui des perles aux chevilles, beaucoup de gens hausseront les sourcils et la traiteront de lesbienne, mais les Africains sont connus pour avoir des piercings dans différentes parties de leur corps, le nez, les oreilles, le ventre, et portaient des perles à la taille, aux chevilles et aux poignets.
Enfin, la nudité n’était pas sexualisée en raison de la chaleur. Les femmes pouvaient se promener nues sans craindre d’être agressées sexuellement.