Adolf Hitler est l’un des personnages les plus célèbres et plus terrifiants du 20e siècle. Mais connaissez-vous ces petits détails étonnants sur Adolf Hitler ?
Il souffrait de cryptorchidie
Il souffrait de quoi ? Adolf Hitler n’aurait eu qu’un seul testicule. Une histoire qui suscite la controverse et alimente toutes les légendes urbaines depuis des décennies.
Le dernier rebondissement en date surgit en 2015, lorsqu’un chercheur allemand de l’université d’Erlangen-Nuremberg, Peter Fleischmann, dit avoir mis la main sur un rapport médical de 1923 qui viendrait confirmer cette thèse. Ce dernier aurait été rédigé par le médecin de la prison de Landsberg, qui accueillit Adolf Hitler après son putsch raté de Munich le 9 novembre de la même année.
Hitler était végétarien
Fait étonnant quand on pense à toutes les atrocités commises par le régime nazi, Adolf Hitler était bel et bien végétarien. C’est ce qu’a confirmé sa gouteuse officielle Margot Woelck, qui a raconté qu’Hitler ne mangeait jamais de chair animale : “Tout était végétarien, uniquement des produits frais, des asperges aux petits pois en passant par des poivrons, du riz mais aussi des salades.”
Un fait largement corroboré par cette déclaration d’Hitler à propos de son amour pour les animaux : “Dans le nouveau Reich, il n’y aura pas de place pour la cruauté envers les bêtes.”
Il dormait le jour du débarquement
Le 6 juin 1944, le Führer était en pleine grasse matinée et aucun général n’osa le réveiller… Un détail qui a eu son importance puisque lors de son réveil, l’opération Overlord avait démarré depuis près de 9h et 100 000 hommes avaient déjà posé le pied sur les plages de Normandie. Un détail qui a peut-être changé le cours de la guerre !
Il aurait été shooté à la métamphétamine
Hitler était un grand hypocondriaque, affirme un rapport secret de l’armée américaine révélé il y a deux mois par la chaîne de télévision britannique Channel 4. Selon ce document de 47 pages, le Führer, qui avalait des sédatifs pour s’endormir, se gavait de stimulants pour rester éveillé la journée. Dans les dernières années de la Seconde Guerre mondiale, il aurait en particulier été accro à la méthamphétamine, l’une des drogues les plus addictives, couramment donnée aux soldats allemands sur le front.
La légende du testicule unique
En 1968, un journaliste russe révèle les résultats de l’autopsie pratiquée par les Soviétiques sur le cadavre partiellement brûlé d’Hitler après son suicide le 30 avril 1945. Une nouvelle retient alors particulièrement l’attention : les médecins n’auraient pas trouvé de trace de son testicule gauche. Une invention pour le discréditer un peu plus ? C’est ce vers quoi tend l’historien François Delpla, que metronews a interrogé dans le cadre d’un article sur le documentaire de France 5 “Hitler, mon grand-père”. “Toute une littérature en a aussitôt déduit, sans le prouver, que c’était également le cas de son vivant et que cela expliquait sa personnalité.” Mais même si c’était vrai, poursuit le spécialiste du IIIe Reich, “le fait de n’avoir qu’un testicule n’empêche absolument pas d’être puissant !”