Dans la vie de chaque jour, plusieurs personnes se rendent sur Google afin d’effectuer des recherches. Que ce soit sur smartphone, sur ordinateur ou vocalement grâce à l’assistant Google, toutes les questions qui nous viennent à l’esprit trouvent une réponse grâce à la gigantesque base de données mise en place par Big G.
On a aujourd’hui un accès instantané à plus d’informations que jamais dans l’histoire de l’humanité, et les progrès de l’intelligence artificielle transforment radicalement notre capacité à relever les défis complexes que nous impose le monde dans lequel nous vivons.
Comment fonctionnent les recherches Google
Imaginons que vous souhaitez décorer votre appartement et en repeindre les murs. Si vous tapez “peinture acrylique” dans Google, le moteur de recherche se basera sur la façon dont les internautes se sont précédemment renseigné sur le sujet et vous montrera les aspects qu’ils sont susceptibles de regarder en premier.
Sur, disons, 350 sujets liés à la peinture acrylique, il vous proposera d’abord les informations qui lui semblent les plus pertinentes. Vous pouvez également effectuer des recherches à partir d’images et de vidéos. Glissez la photo d’un élément que vous recherchez mais dont vous ne connaissez pas le nom ou insérez un extrait de vidéo pour trouver la version intégrale : qu’il s’agisse d’un sublime dunk lors d’un match de basket ou des différentes étapes d’une recette, Google vous aidera.
Mais certains sujets ou mots clés nécessitent un niveau d’analyse approfondie encore impossible à atteindre par le moteur de recherche.
Voici 7 recherches à ne jamais faire sur Google :
Comment fabriquer une bombe
La première des choses à ne pas faire en ligne, c’est de rechercher des contenus illégaux de toute nature, comment fabriquer une bombe, comment vendre de la drogue ou tout autre type d’action criminelle. Oh, en cherchant un peu, vous devriez trouver la réponse à votre question. Mais vous ferez peut-être moins le malin quand la police viendra frapper à votre porte et vérifier votre ordinateur.
Les maladies et leurs symptômes
Rechercher des symptômes ou des maladies sur Google est l’une des pires choses que vous puissiez faire. En effet, vous n’êtes a priori pas en mesure de comprendre pleinement tous les sites médicaux qui apparaîtront en tête du moteur de recherche, et cela peut vous pousser à tirer des conclusions hâtives et erronées concernant la gravité d’une maladie.
Vous pouvez la minimiser ou au contraire sombrer dans des abîmes d’inquiétude jusqu’à votre prochain rendez-vous médical. Vraiment pas une bonne idée.
Les régimes miraculeux
De même, le régime miracle qui vous aidera à perdre du poids en moins de temps qu’il n’en faut a peu de chances de se cacher dans les replis d’un quelconque site web. Il est de loin préférable de s’en remettre aux soins d’un nutritionniste et de suivre ses directives pour mincir en fonction de vos besoins, oubliez les régimes à base de sucreries ou ces mélanges curatifs qui risquent de vous rendre très malade.
Les tutos de drague
Chercher des conseils pour séduire est une chose, suivre un processus scénarisé pour pécho est contre-productif. Si vous n’êtes pas à l’aise dans vos sneakers, aucun tuto ne vous permettra de vous envoyer en l’air facilement.
Le sens de la vie
Ne cherchez pas, vous vous retrouveriez noyé dans un tas de pages sans intérêt : bien évidemment, personne ne connaît la réponse. Vous risquez fort de vous perdre dans une sorte de Guide du voyageur galactique (de l’auteur Douglas Adams), harcelé de chiffres 42 dans tous les sens.
L’horloge de la mort
À mi-chemin entre le sérieux et la blague, ces sites prétendent deviner la date de votre décès. La vérité, c’est bien évidemment qu’ils indiquent un jour aléatoire du calendrier. Une date qui restera indélébile dans votre tête et dont vous pourrez difficilement vous défaire tant qu’elle ne sera pas dépassée.
Les goûts et les aversions de nature sexuelle
L’historique de votre navigateur est impitoyable et peut vous mettre dans l’embarras, surtout si vous effectuez ce genre de recherche au bureau : les responsables du réseau ou les administrateurs système peuvent voir les sites que vous avez visités.