Le bitcoin est controversé depuis ses débuts en 2009, tout comme les crypto-monnaies qui ont suivi dans son sillage.
En raison de son extrême volatilité, de son utilisation dans des transactions néfastes et de la consommation exorbitante d’électricité pour l’extraire, le statut juridique de la monnaie numérique varie considérablement d’un pays à l’autre.
Mais alors que de plus en plus d’Africains se tournent vers les cryptomonnaies, les critiques continuent de se manifester par une série de restrictions sur leur utilisation.
Certains pays ont interdit l’utilisation du bitcoin et des crypto-monnaies, tandis que d’autres ont imposé des limites à la manière dont le bitcoin peut être utilisé.
Cet article présente la liste complète des pays africains qui ont mis en place une interdiction du bitcoin et des crypto-monnaies.
Remarque : les interdictions implicites font référence à celles qui interdisent aux banques ou à d’autres institutions financières de traiter des crypto-monnaies ou d’offrir des services aux personnes ou aux entreprises qui impliquent des crypto-monnaies.
Algérie : Interdiction absolue
Bénin : Interdiction implicite
Burkina Faso : Interdiction implicite
Burundi : Interdiction implicite
Caméroun : Interdiction implicite
République Centrafricaine : Interdiction implicite
Tchad : Interdiction implicite
Côte d`Ivoire : Interdiction implicite
Ethiopie : Interdiction implicite
République démocratique du Congo : Interdiction implicite
Égypte : Interdiction absolue
Gabon : Interdiction implicite
Lesotho : Interdiction implicite
Libye : Interdiction implicite
Mali : Interdiction implicite
Maroc : Interdiction absolue
Namibie : Interdiction implicite
Niger : Interdiction implicite
Nigeria : Interdiction implicite
Sénégal : Interdiction implicite
Tanzanie : Interdiction implicite
Togo : Interdiction implicite
Tunisie : Interdiction absolue
Ouganda : Interdiction implicite
Zambie : Interdiction implicite
Zimbabwe : Interdiction implicite.
Source : Business Compiler.