Un petit ami avare et un petit ami fauché ne sont pas les mêmes. Aucune relation ne prospère sans partage, et cela va au-delà des choses que vous pouvez voir et toucher : efforts, respect, attention, amour, d’affection… et bien-sûr les choses matérielles en font partie.
Si vous êtes en couple avec un gars qui a des problèmes de partage, notamment au niveau des choses matérielles, c’est normal de se sentir mal à l’aise. Mais que faire ? Voici 3 conseils utiles.
1. Parlez-lui
C’est la base de tous les problèmes relationnels. Parfois il suffit de parler pour tout résoudre. Certains font de mauvaises choses non pas avec l’intention de blesser, mais parce qu’ils pensent que c’est la bonne chose à faire. Donnez lui la chance de savoir ce que vous pensez de certains problèmes. Que ce soit son avarice ou autre chose, n’hésitez pas à lui en parler d’abord et donnez-lui l’opportunité de devenir une nouvelle personne.
2. Donnez-lui des trucs
Donner l’exemple est aussi un bon moyen. Offrez-lui les choses dont il a besoin, les cadeaux qu’il trouvera les plus utiles. L’une des façons d’enseigner aux gens comment se comporter avec vous est de se mettre en relation avec eux de la même manière. Bien sûr, cela ne signifie pas qu’ils comprendront et vous traiteront comme ça aussi, mais c’est une étape qui vaut la peine d’être franchie. Espérons que votre homme comprenne.
3- Gagnez votre propre argent
L’autonomie financière est une clé importante en relation. N’en demandez pas trop si vous voulez qu’un homme partage des choses matérielles avec vous. Si votre langage amoureux c’est d’obtenir des cadeaux, cette déclaration devient beaucoup plus précise.
Cependant, il est important de savoir que si c’est le genre de relation que vous souhaitez, vous ne devriez pas simplement être prête à dépenser cet argent pour lui ou le couvrir de cadeaux et de choses matérielles, vous devez réellement EN ÊTRE CAPABLE.
Gagner votre propre argent et pouvoir lui offrir des cadeaux et d’autres choses, peu importe leur montant, donne à la relation un sentiment de réciprocité plutôt que de parasitisme.
Avec Afrikmag