Après la série à succès de La Casa de Papel, on s’attendait à une série en forme trip psychédélique sur fond de gros son House Techno et d’excès en tout genre de la part d’Alex Pina. Mais la nouvelle production du créateur des braqueurs, White Lines, ne passe pas chez certains fans.
De prime abord, la série était plutôt encourageante. Un décor paradisiaque (Ibiza) boosté par des filtres de couleur dans lequel déboule une bibliothécaire de Manchester pour enquêter sur le passé de son frère, mort 20 ans plus tôt dans des conditions mystérieuses. On s’attend alors à une enquête passionnante, pleine de révélations sur les us et coutumes de cette ile d’Ibiza dédiée à la fête et à tous les excès.
Les premiers épisodes sont plutôt agréables à suivre et puis, à mi-parcours… c’est le drame. La série n’avance plus, et l’intrigue (faire la lumière sur la mort du frère et l’histoire de trafic de cocaïne) qui tenait jusqu’alors éveillé passe en second plan. Survient alors un récit centré uniquement sur des amourettes, des histories de lit à rebondissement notamment celles entre l’héroïne principale et un homme de mains beau et musclé.
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Et malheureusement, au boira la coupe jusqu’à la lie bout avec un dénouement final aussi risible qu’invraisemblable. Bref, pas grand-chose à sauver dans cette série trop mainstream et trop sentimentale et surtout bien chargée dans les dialogues que dans la caractérisation des personnages, écrit Hop-Blog.
Contrairement au nouveau hit de Netflix qu’on prédisait pour cette série, White Lines pourrait donc bien rapidement passer aux oubliettes.
