La drogue a eu raison de Whitney Houston. La légende de la musique et son compagnon Bobby Brown avaient fait couler beaucoup d’encre entre 1990 et 2006 à cause de leur addiction à la drogue.
Après la mort de l’artiste, victime d’une noyade dans la baignoire de sa chambre d’hôtel après un mélange fatal de cocaïne et de médicaments en 2012 à l’âge de 48 ans, trois ans après, la fille unique du couple, Bobbi Kristina Brown, lui emboitait le pas de la même façon : elle a été retrouvée inconsciente dans sa baignoire à la suite d’une overdose ; après 6 mois dans le coma, elle décédera à l’âge de 22 ans. Mais la spirale négative n’était pas encore terminée.
Le compagnon de cette dernière et accessoirement fils adoptif de Whitney Houston, Nick Gordon, a lui aussi succombé à une overdose début 2020.
Mais un nouveau drame devait frapper la famille déjà décimée le 18 novembre 2020. Bobby Brown Jr., beau-fils de Whitney Houston né d’un précédent mariage de Bobby Brown, est retrouvé mort à son domicile de Los Angeles.
Les circonstances de la mort du jeune homme de 28 ans sont désormais connues. Selon TMZ, les résultats de l’autopsie l’impute à la consommation d’un cocktail mortel d’alcool, de cocaïne et d’opiacés (Percocet, cachet contenant de l’oxycodone).
Accident ou suicide, difficile de le dire. Ces tragédies sont visiblement inscrites dans l’ADN d’une famille détruite par les drogues. Bobby Brown a perdu son ex-femme, sa fille et son fils en 8 ans, tous victimes des mêmes vices au sein d’une famille rongée par la souffrance, rapporte Gala.
