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Zidane : très mauvaise nouvelle pour le technicien français

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Alors que Zinedine Zidane profite toujours de son congé sabbatique, son retour sur scène est sur le point de s’assombrir. Puisque tout pourrait radicalement changer après la coupe du monde en équipe de France.

En effet, Didier Deschamps qui a connu de très bons moments (le mondial 2018 remporté) comme de mauvais (la finale de l’Euro 2016 perdue face au Portugal de Cristiano Ronaldo) n’a visiblement pas envie de céder son poste après 10 ans passés à la tête de l’équipe de France, même si son contrat s’achève le 31 décembre, après le 3e mondial qu’il s’apprête à diriger. Mais d’abord, avant de savoir s’il va s’éterniser à son poste ou non, il faut qu’il fasse un mondial parfait, puisque le ridicule va le propulser tout de suite de son poste, une épée de Damoclès qu’il n’avait pas au-dessus de la tête lors des précédentes compétitions.

C’est dire que si ses liens avec la fédération avaient toujours été reconduits en amont, ce n’est plus le cas cette fois, puisqu’il y a en attente Zinedine Zidane qui rêve du poste et dont rêve aussi le président de la Fédération française de Football (FFF) Noël le Graët. Mais cela ne semble visiblement pas déranger Didier Deschamps que la méthode ait changé.

C’est du moins ce qu’il a assuré dans un long entretien à L’Equipe, lorsqu’on lui demande s’il aurait été logique de le prolonger avant : « Je ne sais pas si c’est une question de logique. C’est ce qui s’est passé avant, pas cette fois, mais ça ne me pose pas de problème. C’est une décision de mon président, et je n’ai pas de problème avec ça. C’est lui qui m’a choisi, et c’est lui qui décide, et pour moi, ça n’a pas d’impact. Est-ce que c’est mieux ou moins bien ? On ne sait jamais. »

Ensuite interrogé sur la condition de sa prolongation, Deschamps a répondu : « Je ne me pose même pas la question, parce que je ne suis pas là pour moi. Je sais très bien qu’il faudra aller par étapes, le premier match d’abord, puis le deuxième match et, si on se qualifie, commencera une autre compétition. Je me souviens de mon sentiment au moment de jouer l’Argentine, en 2018 : pas un dixième de seconde, je n’avais pensé aux conséquences possibles d’une élimination », rapporte Tofoot.