Rachel Rose Major, une Américaine de 28 ans, s’est retrouvée à l’hôpital peu de temps après s’être faite tatouer au henné.
La jeune femme passait ses vacances en République Dominicaine, selon les confidences faites au Mirror, avec son amoureux lorsqu’elle a été prise de cette fantaisie : se faire tatouer le pied au henné.
« C’est la pire décision que j’ai prise de ma vie. Je ne ferai plus jamais de tatouage au henné et je conseille à tout le monde de faire pareil ».

En effet, dix jours après le chef d’œuvre, son cauchemar a commencé. « Ce n’est que le dixième jour que c’est devenu irritant. Les démangeaisons ne cessaient pas et mon pied s’enflait, ça brûlait à chaque fois que je marchais ».
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Après avoir essayé de se débarrasser du tatouage par des astuces classiques (citron, …), l’Américaine s’est rendue à l’hôpital.
Les médicaments et la crème prescrits ont fait disparaître les douleurs, mais cela restera une leçon que Rachel Rose n’est pas prête d’oublier. « Ce tatouage ne valait vraiment pas la peine pour quelques semaines ».
Elle espère que la cicatrice « ne restera pas éternellement même si l’on peut toujours voir le contour du henné ».
La dame déconseille fortement cette pratique. Elle a rappelé que le tatouage au henné « noir » contiendrait en plus de la composition, des ingrédients chimiques, parmi lesquelles peut se trouver la paraphénylènediamine (ou phénylènediamine) ou autre substance allergène.