Aya Nakamura fait danser la planète avec des tubes comme “Djadja” et “Jolie nana” et est, sans aucun doute, l’artiste française la plus écoutée dans le monde. Quatre jours seulement après sa sortie, “AYA“, son 3e opus, a été streamé plus de 12 millions de fois sur la plateforme Spotify, devenant ainsi le troisième album le plus écouté au monde, selon des chiffres communiqués par la plateforme.
À l’évocation de ces chiffres, la chanteuse semble comme prise de vertige : “Waoouu, je ne savais pas, c’est vraiment génial”, s’enthousiasme-t-elle. “J’étais un peu stressée, car je m’étais demandée si je devais faire la même chose que Nakamura, alors que j’avais envie d’autre chose”.
Son deuxième album, Nakamura est celui qui a changé sa vie. Porté par les deux hits “Djadja” (700 millions de vues sur YouTube) et “Pookie“, il s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires.
Ultime consécration, elle est invitée au festival américain “Coachella“, annulé pour cause de Covid-19, un honneur dont seule une poignée de Français peut se targuer, comme Daft Punk et Chris. Son nom s’affiche désormais en (très) grand sur la mythique place de Times Square à New York.