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Belgique : “traceur covid”, un nouveau métier

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 Les Belges semblent avoir trouvé une solution à un nouveau problème lié à la crise du coronavirus. Il s’agissait de trouver un système capable de tracer les malades récemment testés positifs au coronavirus. Une nouvelle profession dénommée : “traceur Covid” est la solution.

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Ils sont une soixantaine assis devant un ordinateur portable, casque sur les oreilles, à s’être répartis les appels sur la plateforme bruxelloise de N-Allo, un des “call centers” partenaires de l’opération initiée par le gouvernement. Dans ce pays de 11,5 millions d’habitants où le virus a fait plus de 9.000 morts, ce “traçage” par appel au téléphonique est pris très au sérieux alors que les autorités n’ont autorisé qu’un déconfinement très progressif depuis quinze jours, par crainte d’un rebond de la pandémie.

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La tâche des traceurs est « d’appeler les personnes testées positives pour établir une liste de leurs fréquentations sur une période d’une dizaine de jours, depuis l’avant-veille des premiers symptômes jusqu’à sept jours après ». Si le contact a dépassé quinze minutes à moins d’1,50 mètre, ce proche ou collègue de travail du malade est considéré comme une “personne à haut risque”… Et un autre “traceur” sera alors chargé de la prévenir. L’objectif est de “réduire les cercles de contamination pour petit à petit les étouffer et faire en sorte qu’on puisse avancer dans le déconfinement“, résume Gladys Villey, de la Mutualité Partenamut, qui orchestre l’équipe à Bruxelles.

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Sur les 340 visites effectuées en région bruxelloise depuis le lancement de l’opération le 11 mai, seules “20 à 30 %” se sont traduites par un refus de collaborer, “heureusement une minorité”, dit la responsable mutualiste.

 

Source : Nouvelobs