Brigitte Macron a fait une confidence inédite sur un moment très intime de sa vie : son premier accouchement.
Comme de nombreuses femmes, Brigitte Macron a elle aussi connu l’angoisse d’être une jeune maman. Dans les colonnes de Elle, la Première dame s’est longuement confiée sur ses engagements en tant qu’épouse de président de la République, elle qui depuis 2017 œuvre contre le harcèlement scolaire.
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L’occasion également pour elle de confier un souvenir très personnel : celui de son premier accouchement. Ou du moins, les jours qui ont suivi cet heureux événement, qui s’est révélé être un peu angoissant pour elle. “On ne dit jamais à quel point une jeune mère peut être démunie”, commence ainsi Brigitte Macron, avant d’ajouter qu’il est important d’en parler pour “déculpabiliser les femmes”. “A 21 ans, juste après la naissance de mon premier enfant, j’étais devant la maternité en train d’attendre son papa pour rentrer à la maison, et j’ai voulu faire demi-tour, courir me réfugier à la maternité”, se souvient ainsi l’épouse d’Emmanuel Macron, qui est maman de trois enfants, Sébastien, Laurence et Tiphaine.

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Brigitte Macron avait “peur de ne pas savoir” s’y prendre. Un souvenir intact pour la Première dame, qui explique qu’à ce moment-là, elle s’est demandée comment elle allait s’y prendre avec ce nouveau-né. “J’avais peur de ne pas savoir, peur qu’il ne lui arrive quelque chose. Il a passé ses trois premières semaines à hurler nuit et jour”, confie-t-elle, précisant qu’à ce moment-là, elle a sollicité l’aide de médecins qui lui ont fait comprendre que son bébé n’avait rien, et qu’elle lui transmettait ses “angoisses”. “Un jour, on a compris qu’il souffrait d’un problème médical et il a été opéré”, précise ainsi Brigitte Macron. “Être maman pour la première fois, c’est dur, et personne ne le dit !“, tranche-t-elle, ajoutant que certaines en viennent à “culpabiliser dans une solitude immense” en imaginant que les autres jeunes mères y arrivent “dans la joie et l’allégresse”. “Protéger les enfants, c’est aussi soutenir davantage les mères, cesser de les culpabiliser”, conclut la Première dame.