Le changement de dernière minute du protocole sanitaire concernant les joueurs infectés par le COVID-19 a fait couler beaucoup d’encre en Afrique et dans le monde du football.
La CAF, à l’origine de cette décision en plein milieu de la CAN a tenu à expliquer son choix, que de nombreux suiveurs ont eu du mal à comprendre.
Alors que les huitièmes de finale de la CAN avaient déjà commencé, l’instance a décidé de modifier son protocole sanitaire à propos des joueurs infectés par le COVID-19, et ce, quelques heures avant le match Cameroun-Comores.
Ce qui a empêché la sélection des Comores d’aligner leur gardien titulaire, Ali Ahamada, pourtant testé négatif 24 heures avant la rencontre.
Un geste qui a déclenché une vague de mécontentement sur la toile forçant ainsi le secrétaire général de la CAF, Véron Mosengo-Omba, à s’expliquer.
« La commission médicale a décidé de réajuster la règle. Après avoir été testé positif, un joueur fait des tests cardiovasculaires cinq jours après. C’est l’ajustement qui a été fait. Le plus important, c’était de faire ces tests, on ne peut pas laisser reprendre un joueur comme ça », a déclaré le président.
🎙️ CAF President Press Conference.https://t.co/qMv99rRl1G
— CAF (@CAF_Online) January 25, 2022
Source: Besoccer