Les habitants de la ville chinoise de Wuhan, où le coronavirus a été identifié en décembre, sont autorisés à reprendre le travail et les transports publics redémarrent après 2 mois de confinement.
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Cette levée de restrictions intervient au moment où le ministère de la Santé n’a annoncé ce lundi 23 mars aucun nouveau cas de contamination pour le 5e jour consécutif dans cette métropole.
#Wuhan léger lâché de lest, les plus chanceux peuvent mettre le nez dehors pour faire des courses, une fois par semaine #Covid19 #Hubei #Shopping @arnauldmiguet @francetvchine @France2tv @infofrance2 pic.twitter.com/sPBtM2NZSq
— Gael Caron (@GaelC21) March 23, 2020
Il a cependant fait état de 39 cas importés supplémentaires dans l’ensemble de la Chine. Les habitants de Wuhan considérés comme étant en bonne santé peuvent dorénavant se déplacer dans l’enceinte de la ville et prendre le bus ou le métro sur présentation de leur carte d’identité, ont expliqué les autorités.
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Ils peuvent également retourner sur leur lieu de travail s’ils disposent d’un permis délivré par leur employeur. Enfin, ils sont même autorisés à quitter Wuhan pour se rendre dans d’autres parties de la province environnante du Hubei s’ils sont testés négatifs au coronavirus et sont porteurs d’un certificat médical.
#wuhan au temps du #coronavirus #covid19 de nouveaux amis. Les habitants peuvent à certaines conditions mettre le nez dehors désormais une fois par semaine 2 heures pas plus. #quarantaine @francetvchine @GaelC21 @francetvchine #toujoursmasques pic.twitter.com/ntkdkuUQ5U
— Arnauld Miguet (@arnauldmiguet) March 23, 2020
La propagation du coronavirus dans cette métropole a entraîné le 23 janvier sa mise en quarantaine. La quasi-totalité des autres villes de Hubei ont suivi peu après. La population avait interdiction de sortir des limites de la commune de résidence.
À #Wuhan, désinfection du métro, essais de remise en service des bus. Tous les transports étaient arrêtés depuis le 23/01. Une grosse pensée pour les amis en France. 2 mois ici d’une quarantaine très stricte pour juguler l’épidémie. Pas de liberté sans responsabilité. pic.twitter.com/BgIsA1f6C6
— Olivier Guyonvarch ⚓ (@oguyonvarch) March 23, 2020
