C’est à cet exercice que s’est livré Le Molare sur le plateau de Life TV. Il est revenu sur sa relation quelque peu mouvementée avec Daishikan Arafat DJ. Pour lui, il était « un bon conseiller » pour Le Commandant Zabra. Il affirme que sa seule intention en le recadrant souvent vertement était de l’amener à avoir une conduite exemplaire. Et c’est ce que les Chinois, fans du Daishikan n’ont pas compris à son avis. Selon lui, son intention n’était pas de se faire de l’argent sur le compte du défunt.
« Je n’ai jamais fauté vis-à-vis de mon jeune frère défunt Arafat. J’ai été plutôt un bon conseiller pour lui. Si cela n’avait pas été le cas, je ne serais pas en de bons termes avec sa mère Tina, et même sa compagne Carmen. Je n’ai jamais fermé Arafat. À son tout dernier concert, c’est moi qui lui ai offert la sono.
C’est pour le bien d’Arafat lui-même que j’étais fâché avec lui. Je n’appréciais pas ses directs dans lesquels il proférait des injures. Lors de ses obsèques, les gens pensaient que je voulais m’accaparer l’organisation des funérailles.
Pour cela, j’ai été traité de tous les noms d’oiseaux. Mais on ne peut pas empêcher certaines personnes de salir d’autres. Cela est parti du fait que le Premier ministre actuel m’a remis publiquement une enveloppe pour gérer dans l’immédiat certaines choses afférentes au décès. Alors, les commentaires sont allés dans tous les sens.
Parce que certains pensaient que j’étais un obstacle à ce qu’ils pensaient avoir comme gain pendant les obsèques de Arafat », a déclaré Le Molare dans des propos recueillis par Serge Pacôme Didi de Media Prime Mag.
Les Chinois de DJ Arafat, comprendront-ils la version de l’un des précurseurs du Couper Décaler ? Pas si sûr. Ils reprochent notamment au Molare d’avoir isolé leur idole dans les derniers moments avant sa mort.
source : afrique24.com