Dans la journée du mercredi 2 février, la toile a été attristé par une nouvelle concernant l’actrice Gbazé Thérèse.
Guy Amos, le petit fils de l’actrice, a rendu l’âme dans des circonstances qui n’ont pas été révélées. Frappée par ce terrible deuil, Gbazé Thérèse a exprimé sa profonde tristesse causée par le départ soudain de son petit fils.
Alors que les internautes témoignaient leur soutien à l’endroit de l’actrice, des révélations troublantes ont fait éruption sur la toile.
A travers des captures d’écran qui ont circulé sur la toile, l’on a appris que Guy Amos se serait suicidé, à cause d’une déception amoureuse.
Selon les captures, le jeune homme serait en relation avec la demoiselle Reine Mannuella Koko. Pour rendre hommage à son copain décédé, cette dernière a publié des photos d’eux ensemble. Ce qui n’a pas plu à certains internautes.
En commentaire de la publication, une internaute a révélé que Guy Amos et la demoiselle sortaient ensemble, mais ont finalement rompu parce que cette dernière était une lesbienne.
Ne supportant pas cela, le jeune homme aurait écrit une lettre avant de se donner la mort. S’adressant à Mannuella, l’internaute a confié :
”Les gens ne savent pas qu’il a laissé une lettre avant de mourir, stipulant qu’il est mort à cause de sa copine.
Le lendemain de sa mort, tu voulais aller à la morgue mais sa maman Gbazé t’a chassée comme une chienne. Tu l’as gbassé, ensuite, trompé. Quand on gbasse quelqu’un, on ne le trompe pas, ma chérie. Tu as fait fort.
Ceux qui ne connaissent pas tes origines prendront ta défense. Aux dernières nouvelles, tu es devenue lesbienne. Ton copain l’a appris et n’a pas supporté.“
Et d’ajouter : ”En plus de ça, Guy Amos avait archivé toutes tes photos sur son compte Instagram. Au lendemain de sa mort, comme tu as accès à son compte, tu a remis tes photos pour faire croire que c’était l’amour parfait. Or, ça fait trois mois que vous ne vivez plus ensemble, parce qu’il a appris que tu es lesbienne.”
Des révélations qui sèment le trouble dans le cœur des internautes.
