Les études, surtout universitaires, sont loin d’être un long fleuve tranquille. Que ce soit pour les locaux ou les étrangers venus étudier en France, les réalités se rapprochent à un moment donné.
Une récente étude faite envers les étudiants en France a révélé des données ahurissantes. En effet, selon le Baromètre National de la Santé Mentale des étudiants, 38% de ceux-ci, envisageraient de mettre un terme à cette étude.
Plus précisément, l’étude a été réalisée sur 2000 étudiants par Ipsos pour teale et l’IÉSEG et les chiffres sont loin d’être rassurant comme le rapporte le journal Le Parisien.
On recense des chiffres alarmants comme « Trois étudiants sur cinq en France présentent des signes de détresse psychologique, contre 36 % dans la population générale ; 63 % des étudiants signalent un lien entre leurs difficultés de santé mentale et leurs études ou encore près de six sur dix (57 %) estiment que leur santé mentale nuit à leur capacité à suivre le rythme des cours ».
Cette étude met également en avant les filières où les impacts psychologiques sont les plus abondants. « Les étudiants en Lettres, arts et sciences humaines sont les plus touchés : seulement 33 % se sentent bien, et 67 % sont en détresse psychologique.
À l’inverse, les filières plus professionnalisantes, comme les écoles d’ingénieurs (54 %) et l’hôtellerie-tourisme-loisirs (65 %), affichent de meilleurs résultats », indique le journal Le Parisien.
Face à cette réalité, plusieurs mesures ont été instaurées par le gouvernement pour limiter le choc comme notamment l’aide dénommée « Santé psy étudiant » qui permet des échanges gratuits avec un psychologue.
