David Trezeguet n’a pas eu la popularité de Zinedine Zidane, ni le talent d’un Thierry Henry, il est resté l’ombre de lui-même. L’icône des Bleus ou de la Juventus de Turin a rangé dossards et crampons et est moins visible dans le paysage médiatique.
Le prince Harry dépouillé de ses titres militaires ; son successeur connu
Né en France de parents argentins, l’ex-buteur de l’AS Monaco a rapidement trempé dans le monde du ballon rond puisque son paternel n’est autre qu’un ancien footballeur du nom de Jorge Trezeguet, à l’époque à Rouen. La carrière de son père étant terminée, il retourne en Argentine pour s’entraîner. Très tôt, son talent précoce est décelé et le jeune David fait son entrée dans le groupe professionnel de Platense.
Du PSG à l’AS Monaco, il a posé ses valises à l’ASM, celui que l’on surnomme « Bati ». Il a remporté le titre de champion de France à deux reprises, d’abord en 1997 puis en 2000 en jouant les premiers rôles.
Convoqué in-extremis pour la Coupe du monde 98, il est l’un des grands artisans du succès des Bleus à seulement 21 ans. Le reste de l’aventure sera peu fameux, mais l’histoire est déjà belle.
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Aujourd’hui, il est l’ambassadeur de la marque Juventus. Trezeguet s’est vu offrir un rôle d’ambassadeur de la marque Juventus en 2015 sur demande du président Agnelli. Sa mission consiste en effet à vendre l’image du club auprès des investisseurs. « Je ne suis pas seul, je suis accompagné d’autres anciennes gloires du club comme Giampiero Boniperti (à la Juve 1946/1961), Roberto Bettega (1969/1983), Alessandreo Del Piero (1993/2012) ou encore Antonio Conte (1991/2004) je vous assure que ça fait plaisir de bosser avec eux », a commenté Trezeguet.