Dans les affaires criminelles, le net reste l’une des bibliothèques de choix de la police en matières d’accès aux données. Que ce soient des vidéos, des images compromettantes ou non, des messages de toute sorte, tout ce que nous laissons dans le monde du numérique est conservé par certaines entreprises.
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Google est l’un de ces leaders en matière de sauvegarde des informations personnelles ; c’est trop facile de trouver ce qu’on veut tant qu’on sait chercher.
En 2019, près de 75.000 demandes des services de police portant sur 165.000 comptes d’utilisateurs dans le monde entier ont été faites.
Le traitement des informations revient très cher au géant du numérique qui a pris une décision diffusée par le New York Times.
L’accès aux données sera désormais payant : 45 dollars soit près de 25 000 francs CFA pour des infos de base et un prix spécial pour les enregistrements de communication fixé entre 150 et 245 dollars, donc environ 89 000 à 145 000 francs CFA.
Cependant, les « situations d’urgence extrême » et les « enquêtes sur les mineurs » ne seront pas facturées.
On attend avec impatience la décision des autres collecteurs de données telles que Facebook dont la décision pourra faire ou non pencher la balance.