Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

Il ferme son restau à cause du succès fou que cela déclenche sur TikTok

Facebook
Twitter
WhatsApp

Aniss Messadek, gérant du restaurant « Mangez et cassez-vous », a annoncé la fermeture du petit snack parisien qui était devenu – trop – bondé après que des vidéos faisant la publicité du restau ont circulé sur l’appli mobile TikTok.

Real Madrid : Cette sortie fracassante sur l’avenir d’Eden Hazard

Le restau « Mangez et cassez-vous » a ouvert il y a un an, proposant des burgers à des prix défiants toute concurrence : 5 burgers vendus entre 2,5 et 2,9 euros (entre 1 600 et 1 900 FCFA). Les clients se faisaient de plus en plus nombreux. Puis un internaute a partagé fin juin dernier une vidéo sur TikTok indiquant l’adresse du fast-food. Ainsi, les vidéos se sont rapidement multipliées d’un internaute à l’autre. À tel point que les clients faisaient la queue jusqu’au-dehors. Pire, il fallait attendre 2 heures pour être servi.

« On ferme parce qu’il y a trop de monde »

Cette situation inespérée a conduit le gérant à fermer son restau pour « une durée indéterminée ». « Nous n’arrivons nous-mêmes pas à croire ce que nous allons écrire : on ferme parce qu’il y a trop de monde. Notre toute petite structure n’est pas adaptée, ça nous fait trop mal de vous faire faire une ou deux heures de queue, on préfère fermer le restaurant que de vous faire subir ça ! Nous vous faisons toutes nos excuses pour ces longues heures d’attente en face du restaurant », a communiqué le gérant Aniss Messadek sur son compte Instagram.

Coronavirus / Football : Nasser Al-Khelaïfi annonce un plan de secours de la ligue 1

Ce succès monstre a éveillé pas mal de curiosités. Comment une entreprise peut-elle être rentable en vendant des burgers à moins de 3 euros alors que la moyenne de Paris se situe dans les 8 euros ? Eh bien, le fait maison : le pain, les frites, les sauces (à l’exception du ketchup et de la moutarde) et les desserts sont cuisinés sur place. « La farine, les œufs et l’eau pour le pain sont des matières premières qui ne coûtent pas cher », confie Aniss Messadek.

Source : Konbini