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John Fitzgerald Kennedy : cette étrange demande aux prostituées qu’il fréquentait

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A la tête d’un réseau de prostitution à grande échelle à l’époque du général de Gaulle jusqu’à François Mitterrand, Fernande Grudet, alias Madame Claude, s’est vite fait un nom à Paris. A l’occasion d’un film sur la vie hors normes de cette femme mystérieuse réalisé par Sylvie Verheyde, M, le magazine du Monde vient de publier un portrait de Madame Claude dans sa dernière édition. On y apprend qu’il ne fallait jamais lui parler de prostitution mais « d’échange de bons services » et que le mot « passe » n’existait pas dans son champ lexical.

« Mon métier consiste à rendre le vice joli », s’amusait cette femme dure qui n’aimait personne et prenait 30% des 10 000 francs suisse (1 500€) demandés à l’époque pour passer une nuit avec une de ses filles.

« C’est si excitant d’entendre un milliardaire ou un chef d’État solliciter ce que vous pouvez lui donner avec une voix de petit garçon », déclarait Madame Claude à ses proches. C’est ce que fera John Fitzgerald Kennedy lors d’un de ses passages sur le sol français.

Loin d’être l’époux le plus fidèle à sa femme Jackie, l’homme d’Etat a fait appel aux services de Madame Claude en demandant une particularité bien précise concernant la fille à lui trouver : « Il fallait qu’elle soit le sosie de Jackie, mais en plus libérée, en plus hot » révèle M, le magazine du Monde. Des détails respectés qui faisaient toute la différence pour ceux qui la contactaient.