Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Karl Lagerfeld : son fidèle assistant rétablit la vérité sur les vraies causes de sa mort

Facebook
Twitter
WhatsApp

Sébastien Jondeau a travaillé pour Karl Lagerfeld pendant près de 20 ans. Assistant personnel et garde du corps, cet homme de 43 ans assistant le créateur dans ses moindres faits et gestes et le connaissait mieux que personne. Il est d’ailleurs l’un des seuls à connaître les vraies causes de la mort du mythique directeur artistique de la maison Chanel.

Pays africains qui consomment de l’alcool pur : le Gabon champion ! le Togo derrière le Bénin, le Ghana loin devant (liste)

Le 5 juin 2015, alors qu’il était à la plage avec un ami, Sébastien reçoit un message de son patron: “Karl ne sortait pas de l’après-midi, il travaillait chez lui. Il m’a envoyé un message urgent. Je l’ai rappelé dans la seconde: ‘J’ai un problème, je n’arrive pas à pisser’. Il m’a avoué que cela faisait déjà quelque temps. J’ai immédiatement pris les choses au sérieux. Karl n’avait pas de médecin”.

Cancer de la prostate

Malgré l’insistance de son garde du corps, le créateur refuse de se rendre chez un urologue. Ses analyses sont alors envoyées au centre médical de Gassin. “Les résultats sont arrivés à 4 heures du matin. Karl ne dormait toujours pas. Moi non plus. Les taux étaient alarmants”, a confié Sébastien qui ne l’avait jamais vu “si mal, si inquiet”.

Fermeture des frontières nigérianes : les entreprises en colère contre Buhari

“Jusqu’au jour de sa mort, aucun de ses proches n’a été au courant. Karl souffrait d’un cancer de la prostate. Et non pas du pancréas, contrairement à ce que tout le monde a pu dire après”, a finalement révélé le jeune homme.

Le créateur est décédé aux côtés de son fidèle assistant. “Il est mort sa main dans la mienne”, a déclaré Sébastien. “Les dernières années, il ne supportait pas que je me fasse remplacer. J’étais sous son emprise. J’étais un électron libre, mais Karl me contrôlait. Sa maladie était un sujet de discussion quotidien. On se battait pour trouver des traitements. Parfois, les nouvelles étaient bonnes, d’autres fois mauvaises. On passait par de sales moments et hop, ça repartait ! Karl l’éternel !”

Avec 7sur7