Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

>

Le coronavirus lui fait penser à l’Apocalypse et le pousse à rendre un objet antique volé à Jérusalem

Facebook
Twitter
WhatsApp

Une antiquité volée il y a de cela 15 ans sur un site archéologique de Jérusalem a été rendu aux employés du Parc national de la ville de David, selon le Times of Israel.

« Le moment est venu de soulager ma conscience. Il semble que la fin du monde est proche », aurait confié le responsable du chapardage.

Brexit : les derniers détails semblent compliqués à finaliser avec l’UE

L’homme, un Israélien, avait commis son forfait avec un de ses amis alors qu’ils étaient encore des adolescents. Ils avaient volé un boulet à la mesure d’une boule de bowling lors d’une exposition de pierres de baliste qui avaient été catapultées contre des fortifications de l’ancienne ville.

« Les pierres de baliste qui ont été découvertes dans la ville de David sont très probablement liées aux rudes batailles entre les habitants assiégés de Jérusalem et les soldats de la Légion romaine, vers 70 apr. J.-C, année de la destruction de Jérusalem », a expliqué dans un communiqué de presse l’archéologue Yuval Baruch de l’Autorité des antiquités d’Israël (AAI).

2 enfants de chœur arrêtés pour avoir mis du cannabis dans le brûleur d’encens de l’église

L’AAI a déclaré que l’homme avait préféré rendre la pierre par quelqu’un d’autre pour garder l’incognito.

Selon les témoignages de Moshe Manies, l’intermédiaire qui a apporté l’objet aux archéologues, depuis son forfait, l’Israélien avait fondé une famille sans pour autant arriver à trouver la paix du cœur ; le vol du boulet lui pesait.

Convaincu en plus que l’épidémie de coronavirus est un signe d’une prochaine apocalypse, il a préféré réparer ses erreurs avant la fin du monde, d’autant plus qu’en faisant le ménage il avait retrouvé l’objet.