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Lorie : cet évènement marquera à jamais la vie de la chanteuse

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L’année 2020 n’aura pas été totalement mauvaise puisqu’elle aura apporté de bonnes nouvelles. Parmi elles, le premier enfant de Lorie. La chanteuse atteinte de l’endométriose (qui touche une femme sur dix et qui est la première cause d’infertilité chez la femme, ndlr) comme Laetitia Milot ou encore Enora Malagré, a donné naissance l’été dernier à une petite Nina.

Mais cela n’aurait pu être possible si la star âgée de 38 ans n’avait pas quitté le territoire français pour faire congeler ses ovocytes à l’étranger plus particulièrement en Espagne. Elle avait parlé de ce sujet dans son livre, mais aussi de sa grossesse extra-utérine, les choses de la vie, mais également dans les médias.


L’an dernier, sur le plateau de Ça ne sortira pas d’ici sur France 2, Lorie avait notamment déclaré : “On m’a déjà opéré plusieurs fois et on m’a par exemple coupé des bouts du tube digestif, des bouts d’utérus, j’ai encore des nodules au niveau du diaphragme, mais j’étais pas assez atteinte parce que ça n’avait pas touché les ovaires.

Et (les médecins) m’ont dit : ‘La meilleure solution, c’est d’aller en Espagne’. Donc j’ai été voir sur Internet, mais on trouve 40 000 cliniques, on ne sait pas où aller, on sait pas quoi faire“.

Elle avait poursuivi face à Michel Cymes : “On m’a conseillé une clinique donc je suis allée là-bas. C’est assez prenant parce que ce sont des piqûres quotidiennes d’hormones pendant 12 jours, on a des examens à faire, des prises de sang, des échographies qu’on doit faire pendant deux-trois jours, qu’on doit envoyer à la clinique.

Et quand la clinique nous dit ‘Ok, c’est bon, c’est maintenant’, on a 24 heures pour aller en Espagne se faire opérer. Donc il faut pouvoir partir de chez soi : si on a une famille, son boulot, ce n’est pas forcément pratique… Et puis ça coûte cher d’aller là-bas : les trains, les avions. Ce n’est pas donné à tout le monde et c’est une injustice !

Si elle a remporté sa bataille pour devenir mère, son combat au sujet de la congélation ovocytaire, toujours interdite en France est loin très loin d’être terminé.

source : public.fr