Real Madrid ou PSG ? Le choix de Kylian Mbappé est fait. « J’ai une très bonne nouvelle pour vous », a déclaré Nasser al-Khelaïfi, le dirigeant du PSG, dans un communiqué, « Kylian Mbappé va rester jusqu’à 2025 ».
Le samedi 21 mai 2022, sur la pelouse du parc des Princes, avant le match contre Metz, la star a dévoilé la raison de ce choix. « Je suis très content de continuer l’aventure, de rester en France ici. J’ai toujours dit que Paris était ma maison ». Sur les épaules, le footballeur portait un tee-shirt avec écrit « Kylian, c’est Paris », souligne Purebreak. « Je vais continuer à faire ce que je fais de mieux, jouer au football et gagner des trophées », a-t-il ajouté.
Les Madrilènes fous de rage !
Une nouvelle qui passe mal en Espagne, et on peut comprendre ! Kylian Mbappé au Real Madrid… après des mois de suspense, jusqu’à hier, nombreux sont ceux qui y croyait, jusqu’à ce que le rêve soit détruit ! Les Madrilènes ne sont pas prêts à oublier ça, comme le rapporte Europe 1.
Si certains sont moins durs : « Pour nous, ce sera une déception, mais il y a d’autres joueurs. Il n’est pas seul. On a déjà Benzema et déjà une belle équipe », d’autres par contre ne veulent plus entendre parler de lui : « Je comprends. C’est sa décision. Mais il a choisi l’argent plutôt que le succès sportif. C’est lui le perdant. Possible venue de Mbappé à Madrid dans le futur ? « Non, même pas dans trois ans. On ne veut plus de lui ici. »
Plainte !
De son côté, Javier Tebas, le président de la Liga, n’a pas caché sa colère. « Ce que va faire le PSG en renouvelant Mbappé avec de grosses sommes d’argent (…), c’est une INSULTE au football ». « Al-Khelaïfi est aussi dangereux que la Super League », a-t-il aussi lâché. Et la Liga a révélé dans un communiqué porter plainte contre le Paris Saint-Germain pour « défendre l’écosystème économique du football européen ». Une plainte qui sera déposée « auprès de l’UEFA, des autorités administratives et fiscales françaises et auprès des organes compétents de l’Union européenne », souligne Purebreak.
