Avant de s’installer au Royaume-Uni pour vivre une idylle avec son prince, Meghan Markle arpentait les soirées “people” aux Etats-Unis, où elle vivait et travaillait. Au cours de l’année 2013, soit 3 ans avant de rencontrer le prince Harry, la jeune femme s’était rendue au Gala Global Gift. Ce soir-là, elle avait été photographiée au bras d’une personnalité pour le moins controversée : le promoteur immobilier Mansoor Hussain.
Malheureusement pour la maman d’Archie, pour qui cette photo était tombée aux oubliettes, le cliché en question a ressurgi sur la Toile et a été relayés par nos confrères britanniques.
Comme l’a rapporté le Daily Mail, l’homme de 40 ans, qui a été vu avec des personnes parmi les plus célèbres du monde par le passé, a été poursuivi par la police qui l’a soupçonné d’avoir des liens présumés avec des réseaux criminels, liés “au trafic de drogue” et “au trafic d’armes”. La National Crime Agency aurait saisi près de 10 millions de livres sterling d’argent sale, “provenant du blanchiment d’argent pour les gangsters”. Elle lui a toutefois laissé 4 de ses propriétés hypothéquées, ainsi que des espèces sur un compte bancaire qui n’avait pas de rapport avec l’enquête.
C’est en fouillant ses réseaux sociaux, notamment ses pages Twitter et Instagram, que la police a découvert qu’il entretenait des liens étroits avec des personnalités du showbiz, à l’instar de Meghan Markle ou Beyonce, mais également des politiciens, comme Cherie Blair, l’épouse de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair.
D’après Gala, Mansoor Hussain, visiblement séduit par le couple Sussex, se serait également permis de commenter leur mariage royal célébré en mai 2018, à la chapelle Saint-Georges à Windsor. En légende d’une photo de Meghan Markle et du prince Harry postée sur Instagram, il aurait écrit : « Bonne nuit avec la duchesse de Sussex Meghan Markle ». Un commentaire pour le moins inapproprié, qui a dû embarrasser la jeune mariée.
With a reputation for rubbing shoulders with the rich and famous, court papers have found that property developer Mansoor “Manni” Hussain was a “serial money launderer” who invested millions of pounds for organised crime gangs https://t.co/ad6jriJA30
— The Times (@thetimes) October 7, 2020
