Donald Trump devient de plus en plus abandonné dans sa vision d’utiliser ‘la force’ dans la gestion des manifestations qui remuent les Etats-Unis actuellement. Depuis que Jim Mattis, son ancien secrétaire à la Défense, l’a accusé de vouloir « diviser le pays », les choses ne font que tourner mal pour M. Trump.
#BlackOutTuesday : des milliers d’images noires postées sur les réseaux sociaux ce mardi
Le jeudi 4 juin 2020, la sénatrice républicaine de l’Alaska, Lisa Murkowski, n’avait pas aussi caché d’avoir du mal à se décider de voter pour Trump en novembre prochain, en faisant allusion à la déclaration de Jim Mattis.
Après Jim Mattis, voilà un ancien général de l’armée, Douglas Lute, qui estime que cette fois-ci, Donald Trump a « franchi la ligne » en matière d’utilisation de l’armée à des fins de politique partisane. Un tweet de Martin Dempsey, rappelle aussi au Président Trump que « le pays n’était pas un champ de bataille » et que ses « citoyens ne sont pas un ennemi ».
America’s military, our sons and daughters, will place themselves at risk to protect their fellow citizens. Their job is unimaginably hard overseas; harder at home. Respect them, for they respect you. America is not a battleground. Our fellow citizens are not the enemy. #BeBetter
— GEN(R) Martin E. Dempsey (@Martin_Dempsey) June 1, 2020
