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Rapport s3xuel : Combien de temps devez-vous attendre avant de faire un autre tour ?

Crédit Photo : Dakar92

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Pour les hommes comme pour les femmes, il y a une résolution physique après l’0rgasme.

C’est le moment où le corps revient à son état normal, avant l’excitati0n, où les muscles se détendent et où la pression sanguine et le rythme cardiaque diminuent.

Combien de temps l’homme doit-il attendre ?

Chez l’homme, le péni$ perd sa tumescence et le désir s3xuel, ayant été satisfait, disparaît, selon l’International Society for S3xual Medicine. Pendant cette période réfractaire, l’homme est incapable de redevenir dur et ne répond pas aux stimulations s3xuelles.

On pense que la période réfractaire est déclenchée chez les hommes par une poussée de prolactine, une hormone sécrétée par l’hypophyse, ainsi que par une baisse de la testostérone (selon Men’s Health). Ensemble, avec l’implication du système nerveux, ces hormones provoquent un état physiologique d’incapacité à avoir une érection.

La durée de la période réfractaire dépend de plusieurs facteurs, dont l’âge. Les jeunes hommes de 20 ans peuvent n’avoir besoin que de quelques minutes avant de pouvoir avoir une nouvelle ér3ction, tandis que les hommes de 30 et 40 ans peuvent avoir besoin de 30 à 60 minutes ou plus. Cela varie également d’un homme à l’autre, ainsi que le type d’activité sexuelle qui a conduit à l’orgasme.

Combien de temps une femme doit-elle attendre ?

Une étude a révélé que la poussée de prolactine libérée après l’orgasme était 400 % plus élevée lorsque l’0rgasme résultait d’un rapport s3xuel que lorsqu’il résultait d’une masturbation. Cela pourrait signifier que l’orgasme après un rapport s3xuel peut entraîner une période réfractaire plus longue qu’après l’auto-plaisir.

On sait que les femmes ressentent également une poussée de prolactine après l’0rgasme, ce qui suggère qu’il pourrait y avoir une période réfractaire physiologique. Une étude portant sur 174 étudiants universitaires a révélé que 96 % d’entre eux présentaient une hypersensibilité clit0ridienne après l’orgasme, ce qui les rendait réticents à toute autre stimulation clitoridienne (The Canadian Journal of Human Sexuality).

Ce phénomène est similaire à la sensibilité du péni$ que les hommes ressentent après l’0rgasme. Malgré ces résultats, les femmes peuvent être multi-orgasmiques.