Depuis le 11 décembre 2021, Samuel Eto’o est devenu le 18e président de la Fédération Camerounaise de Football. Il remplace à ce poste, Seidou Njoya, le président par intérim sortant qui était fortement impliqué dans l’organisation de la 33e édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN Total 2021) qui démarre le 09 janvier 2022.
Le nouveau patron de « Tsinga » poursuivra les œuvres de son prédécesseur et sera amené à collaborer avec les autres acteurs impliqués dans l’organisation de la CAN dont son ex petite amie Nathalie Koah.
En effet, l’auteure du livre « Revenge Porn » fait partie des web influenceurs retenus par le ministère des Sports pour communiquer autour de la CAN 2021 sur internet. Depuis leur séparation fracassante en 2014, les anciens amoureux ne se sont plus rencontrés officiellement devant les caméras.
La CAN pourrait être l’occasion pour le nouveau président de la Fecafoot de renouer les liens avec la femme d’affaires et écrivaine. Bien que leur séparation ait été violente (diffusion des images de nudité de Nathalie Koah sur le net), l’eau a coulé sous les ponts et les deux personnalités semblent avoir tourné la page.
« Je ne veux pas me souvenir uniquement de ce qu’il a fait de mal. Samuel n’est pas responsable des choix que j’ai faits pour lui plaire. Je ne lui reproche pas la tournure qu’avait prise notre relation. Ce que je lui reproche, c’est d’avoir mis mes photos en ligne, de m’avoir exposée ainsi, dans ma nudité, et d’avoir mis ma vie en l’air », avait déclaré Nathalie Koah dans une interview accordée à Jeune Afrique au lendemain de la sortie de son ouvrage « Revenge Porn ».
L’influenceuse web ne garde pas que des mauvais souvenirs de son aventure avec Samuel Eto’o. Elle se rappelle d’ailleurs souvent des moments heureux vécus aux côtés de l’ancien international camerounais.
« Ce que je suis aujourd’hui, même avant ça, c’est également grâce à lui. Si j’ai pu faire les formations que j’ai faites, si j’ai pu voyager, c’est également grâce à lui… C’est la première fois qu’on me donne l’opportunité de m’exprimer dessus…
Ce qui s’est passé était vraiment tragique et douloureux qu’on peut oublier ce qui était positif. Il y avait également beaucoup de positifs, du soutien moral quand j’en avais besoin. Ce n’est pas un merci à cause de cette histoire, c’est un merci global parce qu’au final, si j’en suis là aujourd’hui, c’est plus ou moins grâce à lui », a-t-elle déclaré.
Avec camerounweb.com
