La vie de star n’est pas un long fleuve tranquille. Entre pression sportive et les scandales qui pourraient éclater, le coin de refuge pour trouver l’énergie est la famille.
Cristiano Ronaldo ne déroge pas à cette assertion. La star du Portugal s’est toujours appuyée sur les siens pour atteindre les sommets et vivre une carrière incroyable.
Voici un extrait de ce témoignage d’amour de la star à sa famille.
« Georgina est une part de moi. Elle m’a tellement aidé.
Bien sûr, je suis amoureux d’elle. On va se marier un jour, c’est sûr. C’est également le rêve de ma mère, donc un jour, pourquoi pas ?
C’est génial, c’est mon amie. Nous discutons.
Je lui ai ouvert le cœur et elle m’a ouvert le sien.
Un jour, Junior m’a demandé un Iphone, j’ai refusé. Il voulait un téléphone pour me contacter, mais j’ai refusé.
Je lui ai dit d’appeler avec le téléphone de sa grand-mère.
Je veux transmettre à Junior qu’il se batte pour obtenir quelque chose.
L’éducation est le meilleur cadeau que je puisse lui donner.
Une fois, je l’ai amené où j’ai grandi.
Il m’a dit, « Papa, tu as vécu ici ? Il n’arrivait pas à y croire » Je voulais vraiment qu’il voit où j’ai grandi. Il connaissait déjà à Madère la résidence Marques de Pombal.
Il est monté avec moi et il y avait les mêmes personnes qui y vivaient déjà à l’époque.
Cela m’a ému, parce que je ne m’attendais pas à voir les mêmes personnes. Ca m’a vraiment touché.
Un autre moment qui m’a marqué, c’est lorsque j’ai remporté la ligue des champions à Cardiff.
Quand j’étais sur le terrain, après le coup de sifflet final, j’avais l’impression qu’on avait envoyé un message au monde entier.
Mais quand Junior est entré sur le terrain pour célébrer le titre avec moi, c’était comme si tout avait basculé en un claquement de doigt. Toutes mes émotions avaient changé d’un seul coup.
Cela me fait penser à mes années de jeune joueur quand j’ai commencé à jouer en professionnel à 17 ans.
Ma mère pouvait à peine me regarder jouer à cause du stress.
Elle venait me voir jouer au vieux stade Jose Alvalade et elle était si nerveuse pendant les gros matchs qu’elle s’est évanouie plusieurs fois, sérieusement, elle perdait connaissance.
Les docteurs ont commencé par lui prescrire des sédatifs pour qu’elle puisse regarder mes matchs.
Mon père, lui, c’était autre chose. Quand j’étais petit, je jouais dans la rue. Mon père me voyait et voulait que j’intègre l’équipe de jeune d’Andorinha FC.
Il s’occupait des maillots du club et je savais que cela l’aurait rendu fier de me jouer là-bas.
Le premier jour, il y avait beaucoup de règle que je ne comprenais pas, mais j’adorais la sensation, le sentiment qui venait avec la victoire.
Mon père était sur le bord du terrain à chaque match avec sa grosse barbe et sa tenue de travail.
Mais ma mère et mes sœurs n’aiment pas le football, du coup mon père faisait tout pour les convaincre de s’y intéresser. Il était comme mon premier agent.
Je me revois encore rentrer à la maison avec lui et l’entendre dire : « Hey, Cristiano a marqué un but ».