L’accès au digital permet de « Voyager sans bouger », de suivre des formations diplômantes en restant chez soi, donc à coûts et efforts réduits. L’accès au digital permet également d’accéder à des emplois distants, et de vivre de manière plus que correcte, de services délivrés à distance, à des clients établis dans le monde entier.
De la même manière que l’apprentissage à l’écriture était le début de la libération intellectuelle auparavant, l’apprentissage au digital est désormais le début de la nouvelle liberté individuelle, le début de l’émergence individuelle, le début de l’émergence des nations. Les pierres du temple des nations émergentes, se taillent donc essentiellement dans la carrière des apprentissages aux pratiques du digital.
Ainsi apparaissent de plus en plus plusieurs nouveaux métiers du digital, par exemple les « Community managers ». La maîtrise du numérique, permet de mettre à disposition des populations de nouveaux modèles digitaux, adaptés à leurs besoins et à leurs spécificités. Les sachants du numérique sont les nouveaux bâtisseurs des œuvres digitales conçues par nos populations et élaborées pour nos populations. Les nouveaux techniciens et ingénieurs numériques doivent donc être formés pour construire et maintenir des ensembles digitaux, dans le cadre d’une urbanisation digitale globale, dans laquelle nos populations doivent apporter leur contribution.
Ainsi apparaissent de plus en plus plusieurs nouveaux métiers du numérique, par exemple les « développeurs web ».
L’éducation aux métiers du digital et du numérique constitue donc pour la fondation TEOLIS et pour la Coopération Allemande mise en œuvre par la GIZ, un préalable à toute ambition d’émergence de nos populations.
C’est la raison qui les amène à privilégier le projet de mise en place d’une Ecole Supérieure du Numérique – TEOLIS, qui constitue un premier pilote, qui sera développé, renforcé et répliqué, dans les prochaines années.
