En Algérie, le peuple était aux urnes ce dimanche 1er novembre 2020, pour un référendum sur le changement de leur constitution.
Fort était de constater que la participation à ce scrutin, un projet initié par le président Abdelmadjid Tebboune, était très faible.
Moins de 24 % des Algériens ont été aux urnes quand pour leur Chef d’Etat, ce référendum était censé répondre aux aspirations du mouvement Hirak qui remue le pays depuis des mois.
Cependant, les partisans du Hirak ont appelé au boycott de ce scrutin qui était également considéré comme le début d’une nouvelle ère dans le pays d’où le choix de la date du 1er novembre qui marque le début de la guerre d’indépendance contre la puissance coloniale française, en 1954.