Lors d’un récent procès pour viol, au tribunal de la Couronne de Liverpool, l’auteur de cette agression s’est effondré lorsque le verdict a été prononcé par le juge.
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Le paradoxe, c’est que l’accusé, Richard Thomy, 25 ans, ne s’est pas effondré à cause de la peine de 64 mois qui lui avait été infligée après avoir abusé, sans port de préservatif, de la jeune femme, 19 ans, mais à cause d’une découverte choquante.
En effet, lors des plaidoyers, l’état sérologique de la jeune femme qui n’était pas censé être révélé au cours du procès a été malencontreusement divulgué par un proche parent.
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Ainsi, il fallait donc faire des tests et certifier si le violeur avait contracté ces maladies ou pas d’autant plus qu’il y a 3 mois, lors d’un contrôle régulier, aucune de ces 2 maladies n’avaient trouvé chez lui.
Au dernier jour du procès alors que tout le monde attendait le verdict, les experts, qui ont fait des tests sanguins sur le violeur, ont apporté le résultat sous pli fermé.
Et c’est au moment où le verdict était prononcé par le juge que l’accusé a jeté un coup d’œil dans l’enveloppe des résultats qui étaient positifs aussi bien pour le VIH que pour l’Hépatite !
Selon un média local, on pourra dire que le karma a puni Richard pour ses actes répréhensibles.