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Brexit : Le Parlement britannique valide la sortie de l’Union Européenne

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Après avoir remporté les dernières législatives, Boris Johnson, le Premier ministre n’a quasiment plus d’écueil sur le chemin menant au Brexit. Et c’est sans surprise que le nouveau Parlement a approuvé en seconde lecture le texte d’accord de sortie de l’UE, par 358 voix contre 234, ouvrant la voie à un divorce fin janvier.

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À la tête d’une majorité de 365 députés sur les 650 sièges de la Chambre des communes, Boris Johnson était soutenu. Dans un discours énergique, il a appelé le nouveau Parlement à « sortir de l’impasse » sur le Brexit : « il est temps de se rassembler et d’écrire un nouveau et excitant chapitre de notre histoire nationale », a lancé le Premier ministre.

Il a insisté sur l’idée qu’il ne fallait pas envisager de prolongation à la période de transition, prévue jusqu’à la fin de l’année prochaine. « Cela renforcera la position de négociation du Royaume-Uni avec l’UE », soutient-il.

Après 47 ans de vie commune avec l’Europe, le Premier Boris Johnson déjoue tous les pronostics en actant le divorce.

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Un divorce en deux temps

Ce divorce va se faire en deux temps. D’abord l’application le 31 janvier de l’accord de retrait négocié qui ouvrira alors une période de transition jusqu’à la fin 2020. Si d’ici là aucun accord commercial n’est trouvé, le pays sortira quand même de l’Europe, le Premier ministre l’a inscrit dans la loi, histoire de maintenir la pression sur les négociateurs, au risque, vu la brièveté des délais, d’un départ sans filet et donc brutal pour l’économie britannique, écrit RFI.

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L’UE a d’ailleurs prévenu qu’elle ferait le « maximum » pour conclure un accord, tout en prévenant qu’un « no deal » aurait « plus d’impact sur le Royaume-Uni » que sur les Européens. Boris Johnson a le temps de changer d’avis, mais cette ferme détermination est un signal adressé à des électeurs lassés de la paralysie ambiante, précise le média français.