Décidément, la guéguerre entre les amis de Dj Arafat et sa mère Tina Glamour est loin de se terminer. Dans une récente vidéo qui fait le buzz actuellement sur la toile, rapporte Linfodrome, Tina Glamour règle ses comptes.
« La recréation est terminée », a annoncé Tina Glamour dans une vidéo en direct. À l’en croire, après avoir fait son deuil, il est désormais temps qu’elle mette fin aux agissements de personnes dont le seul but est de s’enrichir sur les funérailles de son fils. C’est pourquoi, a-t-elle dénoncé des amis de DJ Arafat dont Olo kpatcha et Landry Agban.
Tina Glamour a, dans sa vidéo, ouvertement accusé Landry Agban d’avoir pris frauduleusement les affaires de son fils juste après sa mort. Selon elle, le directeur de la Yôrôgang aurait même « cassé les portes du studio d’enregistrement de DJ Arafat » pour y soustraire des appareils. Pis, toujours selon Tina Glamour, il ne s’est pas arrêté là. Le mobilier de salon et une somme d’argent destinée aux enfants de DJ Arafat ont été gardés par devers le nouveau directeur général de la Yôrôgang.
« Landry Avit a cassé le studio de mon fils, il a volé les fauteuils de mon fils et les dons de mes petit-fils », a-t-elle accusé.
Quant à Olo kpatcha, Tina Glamour l’accuse d’avoir volé le téléphone, les ceintures, des chaussures et des paires de lunettes de DJ Arafat. Puis, dira Tina Glamour, en association avec Landry Agban, Olo kpatcha va mettre à une destination inconnue les voitures de son fils.
Pour ces faits, Tina Glamour a donné un ultimatum de trois jours pour retrouver tous ces biens de son fils auquel cas c’est la malédiction divine qui s’abattra sur eux.
« Je donne trois jours pour qu’on dépose les voitures de mon fils. Vous n’allez pas les vendre, vous êtes méchants. Ceux qui ont pris les affaires de mon fils, commencez maintenant à les ramener même les chiens sinon vous allez rendre compte à Dieu. Vous avez attendu la mort de mon fils pour vous enrichir », a-t-elle prévenu.
Annonçant qu’elle mettra fin aux agissements des « sorciers », Tina Glamour a prévenu qu’ « on ne bouffe pas l’argent de cadavre ».