Le vendredi 30 octobre, au lendemain de l’attaque au couteau dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption de Nice, Emmanuel Macron « a souhaité parler au Pape François, au moment où les catholiques de France ont été si violemment blessés et les Français dans l’ensemble, choqués par cette attaque ».
« Le Pape a exprimé en retour son soutien fraternel aux Français », ajoute la présidence.
Le chef de l’État a également évoqué la mémoire du Père Hamel, assassiné dans l’église Saint-Etienne du Rouvray.
Les deux dirigeants partagent une « convergence de vue totale » sur « le rejet absolu du terrorisme et de l’idéologie de la haine qui divise, tue et met en péril la paix » ainsi que sur l’importance du dialogue entre les religions.
Le gouvernement a décidé de renforcer les mesures de sécurité autour des lieux de cultes chrétiens pour ce week-end de la Toussaint.
Trois personnes ont été tuées, dont une au moins égorgée, et plusieurs autres ont été blessées lors de l’attaque survenue le jeudi 29 octobre à Notre-Dame de Nice. L’auteur présumé a été interpellé.