“Gims“, un documentaire éponyme sur l’un des rappeurs les plus populaires de France, appelé jusqu’en 2019 “Maitre Gims”, est prévu pour être dévoilé ce jeudi 17 septembre par Netflix. Ce sera l’occasion pour les fans d’en apprendre davantage sur la carrière et la vie personnelle du chanteur de Bella.
En effet, dans le film, la star fait des confidences sur les difficultés, parfois méconnues, qui ont pavé son parcours, notamment, sa vie d’avant le groupe Sexion d’assaut, rapporte Europe 1.
“La journée, j’étais dans la rue avec mes potes. Et le soir, je faisais semblant de rentrer chez moi”, se souvient-il. “Mais je ne rentrais nulle part. Je marchais sur les grands boulevards, j’allais écouter des disques à la Fnac, je rêvassais… Je faisais des nuits blanches ou je dormais dans le métro, chez des amis ou dans des cages d’escalier”, a confié celui qui a connu foyers et squats dans son adolescence. Un tour d’horizon est également fait sur sa famille.
“Gims ne laissera jamais personne passer devant lui. Tu peux être son père, il ne te laissera pas le doubler”, rigole ainsi Dadju, le frère cadet de l’artiste, également chanteur. “Mon but est de passer devant lui. Son but, c’est que je monte, mais que je reste juste derrière son épaule.” “On est clairement en concurrence”, confirme ensuite Gims dans le documentaire. “Même s’il n’a pas ma carrière.”
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La famille compte d’autres artistes, notamment Djuna Djanana, le père de Gims qui était déjà une star de la chanson au Congo où la star a d’ailleurs fait un voyage. Entre autres sujets abordés, tout le long du documentaire, Gims s’est confié également sur sa vie de père de famille, des dérives du show-business et son parcours spirituel et religieux.
