C’est la guerre entre Cardi B et Melania Trump. Et c’est sur Twitter que la chanteuse a jugé bon de s’en prendre à la femme du président Trump à cause de son discours à la Convention nationale républicaine et qui a été chaleureusement accueilli par les membres du parti.
Avec « WAP », tube le plus osé de l’été, Cardi B fait polémique
A l’origine de la tension, une réflexion de DeAnna Lorraine, ex candidate républicaine au Congrès qui avait écrit : « L’Amérique a besoin de beaucoup plus de femmes comme Melania Trump et de beaucoup moins de femmes comme Cardi B ».
« Ce n’est pas justement elle qui a vendu son WAP (son corps, n.d.l.r.) », écrit-elle sur Twitter. Son commentaire fait référence à sa chanson “WAP”, en collaboration avec Megan Tea Stallion, qui a été très critiquée en raison de ses paroles grossières et sexuelles.
Didn’t she used to sell that Wap? https://t.co/ahgIf96S6a
— iamcardib (@iamcardib) August 26, 2020
La rumeur est relancée
Avec ce tweet, Cardi B a ravivé les rumeurs selon lesquelles Melania aurait travaillé comme escort-girl. Une rumeur qui circule depuis bien longtemps, mais que Melania Trump a toujours niée. La chanteuse est allée encore plus loin: une demi-heure plus tard, elle est retournée sur Twitter, cette fois pour publier une photo nue – qu’elle a habilement censurée – de la Première dame pendant ses années de mannequinat. En légende, la chanteuse écrit: « Cette photo me dit ‘Oui, tu baises avec un cul mouillé’, je dis ça comme ça ».
This pic giving me “ yea you fuckin wit some wet ass pussy “ vibes …just sayin??♀️ https://t.co/ahgIf96S6a pic.twitter.com/3DFhh7AY2h
— iamcardib (@iamcardib) August 26, 2020
C’est un mensonge
Melania Trump n’a pas encore réagi aux attaques de la chanteuse, mais les publications de cette dernière sont rapidement devenues virales. DeAnna Lorraine a quant à elle répondu: « Non, c’est un mensonge complet ». Elle ajoute : « Mais ce qui n’est pas un mensonge, c’est que vous détruisez la jeunesse américaine avec vos paroles et vous devriez avoir honte de vous ».
